Bienvenue à tous !
Comment ce blog va t-il vous aider à bien manger en voyage ?
Avez-vous déjà remarqué, lorsque vous partez en voyage, que vous passez toujours par 3 phases ?
phase 1 : VOUS, AVANT DE PARTIR
« Wouuuaaahh… ce pays a l’air magnifique ! Il y a plein de choses à visiter et on sera vraiment dépaysé ! En plus, la nourriture a l’air délicieuse… » Vous avez des étoiles et des images exotiques plein la tête, et je vous comprends : quoi de plus excitant que d’imaginer son super voyage à venir ??
Et pour les plus gourmands, ça sera : « Wouaaah !! Je veux goûter ça, et ça, et aussi ça, et aller dans ce marché, et tester tous les plats typiques de ce pays ! » Vous en avez déjà l’eau à la bouche.
OUI CERTES, MAIS après le rêve et l’excitation de la préparation, il y a souvent la phase…
phase 2 : VOUS, PENDANT LE SÉJOUR
« C’était super beau cet endroit, hein ? En plus, on a vraiment eu de la chance, il n’y avait pas trop de monde… mais j’ai faim maintenant ! » (La version pessimiste, c’est : « C’était beau, mais il y avait vraiment trop de touristes… faut que je mange maintenant !! »)
ET LÀ, vous vous retrouvez à l’embranchement de plusieurs scénarios potentiels :
- Scénario 1 : vous avez si faim que vous vous retrouvez dans le premier attrape-touristes à la porte du site que vous venez de visiter
- Scénario 2 : vous poussez un peu plus loin car vous voulez justement éviter les attrapes-touristes et finissez quand même dans un attrape-touriste après avoir déambulé au hasard des rues pendant 45 minutes sans rien trouver de convaincant
- Scénario 3 : vous faites l’effort de regarder dans votre guide et choisissez le resto le moins loin ou qui vous fait le plus envie, sauf que, lorsque vous y arrivez, il a fermé (le guide n’est plus à jour) ou il est bondé (tout le monde a le même Lonely Planet).
- Il existe un scénario 4 dans lequel vous entrez dans le premier boui-boui venu, où la nourriture est super bonne et le service chaleureux. Mais c’est l’option la plus rare.
Et cela se répète 2 fois par jour, tous les jours. Sans parler de toutes ces fois où vous n’avez aucune idée du plat à choisir et que vous vous retrouvez avec une escalope à la milanaise sur du riz mal cuit.
phase 3 : VOUS, AU RETOUR
FINALEMENT, le bilan gastronomique au retour est un peu mitigé. Vous avez bien mangé des choses qui vous ont plues, mais elles étaient toujours trop chères, ou toujours trouvées par hasard. A chaque fois que venait le moment de déjeuner, c’était une galère et vous avez préféré certains jours vous préparer des sandwiches au pain de mie avec deux feuilles de salade. Je ne mentionnerai pas la tourista potentielle.Bref, c’était quand même moins réussi que ce que vous imaginiez (« Mais c’était bon quand même, hein ! » direz-vous à vos amis).
>>> Comment éviter toute cette frustration ?? <<<
A la Recherche du Pain Perdu, c’est la rencontre entre un blog voyage et un blog food, mais c’est surtout un blog qui veut vous aider à bien manger en voyageant (et donc à bien voyager).
Ce que j’espère avec ce blog, c’est de vous éviter ces situations regrettables. Je vis pour manger et voyager et n’envisage pas une seule seconde qu’on puisse mal manger sous prétexte qu’on se trouve dans un pays étranger. La découverte d’un pays ne passe t-elle pas aussi par sa gastronomie ? Le bon déroulement d’un voyage ne repose t-il pas aussi sur un estomac bien rempli ? Bref, la mission de ce blog food & voyage est de permettre à tous les voyageurs à découvrir les pays à travers leur gastronomie et les aider à bien manger, quel que soit l’endroit où ils se trouvent.
Vous trouverez donc principalement :
- des astuces pour se restaurer en voyage,
- des itinéraires partout dans le monde,
- des bons plans pour ne jamais manquer de rien,
- des conseils pour ne pas être perdu dans son alimentation…
… mais aussi des récits de voyage, de la gourmandise et de la bonne humeur !
Bonne lecture, bons voyages et bon appétit !
Je m’appelle Fabienne, et je voyage pour manger.
Un matin, j’ai ouvert le frigo et j’ai trouvé du comté de Franche-Comté, un reste de rougail saucisses de La Réunion, des pommes grises du Canada (soi-disant), du tofu japonais et une bouteille de Gewurtztraminer. Mais ça n’était pas assez.
Alors je suis allée jusqu’à mon placard et j’ai trouvé du chocolat suisse, du thé au jasmin de Chine, des épices tandoori que j’avais achetées à Marseille et des gaufres de Liège. Mais ça n’était pas assez.
Alors je suis allée au marché. J’ai trouvé des oranges d’Espagne, des moules de Vendée, du vin de Bourgogne, des figues de Cognac et des canelés bordelais. Mais ça n’était pas assez.
Alors j’ai consulté mon smartphone pour chercher les meilleurs restaurants des environs. J’ai trouvé un chinois qui faisait des nouilles artisanales, un coréen qui faisait un délicieux sundoubu chige, un mexicain qui faisait semblant de faire des tacos et des margaritas. Mais ça n’était pas assez.
Du coup, j’ai quitté mon travail, pris une paire de baguettes et mon Opinel rouge, fait mon sac à dos et je suis partie en voyage, histoire de voir combien de spécialités on peut manger quand on est une fille de 26 ans avec un estomac grand comme le monde.
Depuis octobre 2015, ce blog food et voyage réunit mes trois passions : manger, explorer et écrire. J’espère que vous aurez autant de plaisir à le lire que moi à l’écrire, et qu’il vous donnera vous aussi envie de partir à la recherche de votre pain perdu (chacun le sien) !
En vrai, comment j’en suis arrivée là ?
Après 4 années de travail en agence de communication éditoriale à Paris, j’ai décidé de prendre mes jambes à mon cou mon courage à deux mains et de partir faire le tour du monde pour réaliser mes rêves.
Passionnée de gastronomie et fascinée par les différences culturelles imprégnées dans nos habitudes alimentaires, j’ai toujours rêvé de découvrir et d’essayer de mieux comprendre les peuples, les familles, les Hommes en étudiant l’assaisonnement de leur repas, l’heure à laquelle ils dînent, la façon dont ils tiennent leurs couverts… L’exploration de la nourriture est le grand prétexte et la motivation de mes voyages.
Evidemment, j’adore manger. J’ai toujours quelque chose à grignoter sur moi, et globalement, j’ai tout le temps faim. J’aime aussi cuisiner (mais seulement avec amour !) et dès que je le peux, j’essaie d’apprendre de nouvelles recettes. La cuisine asiatique, c’est mon dada. C’est la cuisine de ma mère, celle de mes grands-mères, celle qui chatouille le plus mes papilles et qui contente le plus mon estomac. Mais j’ai aussi un vrai goût pour le boeuf bourguignon, la croûte aux champignons et les tartines beurrées ! Et après tout, pourquoi choisir ?
Plutôt du genre « Yes Philosophy », je veux avoir fait le maximum de choses dans ma vie. J’adore côtoyer de nouvelles personnes, me confronter à de nouvelles cultures et manger épicé. J’aime aussi écouter toutes les histoires que tout le monde a à raconter, pour en raconter plein à mon tour. Alors me lancer dans un grand voyage pour goûter à tous les plats du monde et me retrouver dans plein de situations cocasses, c’était plutôt un chouette défi à relever !
Plus personnellement, ce tour du monde gourmand, c’est aussi l’occasion pour moi d’explorer mes origines multi-culturelles. Née à l’île de La Réunion dans une grande famille d’origine chinoise, j’ai grandi dans un contexte créole, chinois et occidental, avant de déménager en France métropolitaine pour mes études. Là, une famille franc-comtoise m’a prise sous son aile alors que je débarquais dans une capitale immense. Alors que j’aime voyager depuis toujours, c’est seulement après 10 ans passés à Paris et à Glasgow (en Ecosse), que j’ai décidé qu’il était temps d’aller voir ailleurs si j’y étais, au sens littéral du terme.
Eh oui, les voyages permettent toujours de mieux savoir où se trouve son « chez soi ». Affaire à suivre, donc.
Oui et non. Je teste un maximum de choses en voyage, évidemment, mais je ne suis pas payée pour ça et mon estomac n’est malheureusement pas extensible. Je ne peux donc pas manger autant de choses et dans autant d’endroits que je le souhaiterais. Mais j’interroge des locaux sur leurs habitudes et je me documente beaucoup. Je travaille aussi avec des blogueurs spécialisés dans certaines cuisines pour donner un maximum d’infos aux voyageurs !
Bien entendu, je source toujours mes infos.
Je suis « digital strategist » freelance (https://fr.linkedin.com/in/fabiennefongyan) et nomade digital. Cela me permet de travailler de n’importe où, pourvu que j’ai une connexion internet et un endroit un peu calme pour travailler.
Mon métier de digital strategist. Je travaille avec des agences et des entreprises qui ont besoin de conseils pour définir et déployer leur stratégie de communication et d’influence sur le web et sur les médias sociaux, spécifiquement. J’écoute le web, je suis spécialiste de la veille et de l’analyse des communautés. Je donne aussi des cours sur l’usage des médias sociaux et les stratégies d’influence digitale. J’adore ce métier et je ne l’ai pas abandonné en commençant à voyager.
Mes activités #food et #tourisme. Je collabore avec des startups dans le domaine du tourisme, de la gastronomie/cuisine pour toutes sortes de mission comme Le FoodTrip et OpnKitchen.
Si ces compétences vous intéressent, si vous souhaitez faire un partenariat, que vous aimez un projet ou que vous avez juste envie d’échanger autour de tous ces sujets, n’hésitez pas à m’envoyer un e-mail ou à m’envoyer un message sur Linkedin 🙂
Si vous avez des questions sur les bonnes adresses, les livres, les voyages ou si vous avez juste envie de discuter de cookies et de dinosaures, ma boîte mail est grande ouverte : fabienne[mettezl’arobaseici]alarecherchedupainperdu.fr